Après plusieurs années au service du public en tant que secrétaire comptable puis adjoint administratif, j’ai fait un burnout suivi d’une grave dépression.
Il m’a fallu du temps pour réaliser et admettre que je n’étais plus en phase avec moi-même. Passionnée par mon travail, je me suis totalement laissée déborder, submerger, dévorer. Prise dans l’urgence de tout, répondre constamment aux diverses sollicitations et attentes ; je n’ai rien vu venir. Je me suis oubliée…
Le stress permanent, les nuits d’insomnies ou agrémentées de cauchemars, la fatigue cumulée, les levés difficiles, les crises d’angoisse, la boule au ventre, l’irritabilité à la moindre petite contrariété, la perte d’appétit, et autres réjouissances ont été mon quotidien durant de longs mois.
J’étais devenu un zombie, l’ombre de moi-même. Mon travail avait perdu tout son sens et moi mes valeurs, ma dignité et mon intégrité. Ma vie personnelle en a été également fortement perturbée, avec un impact sur les tâches quotidiennes que je n’arrivais plus à assurer.
La pente a été très difficile à remonter car au crash professionnel s’était également ajouté un véritable raz de marée dans ma vie personnelle.
J’ai dû apprendre à gérer mon stress, prendre du recul, lâcher-prise, reprendre confiance en moi, développer de nouvelles capacités. Tout cela m’a amenée à me questionner. J’ai réalisé un énorme travail sur moi tant en autonomie qu’en étant accompagnée.
Sur ce parcours plein d’embûches, j’ai eu la chance de rencontrer des personnes formidables qui m’ont aidée et guidée, avec bienveillance et sans jugement.
Où donc était ma place ? Que pouvais-je faire pour m’aider et aider les autres ?
Ma reconversion ne pouvait pas se faire sans être axée sur la relation d’aide. Suite à mes différentes recherches, la sophrologie a retenu mon attention. Grâce à la sophrologie, j’ai pu consolider tout le travail effectué en amont. De plus, la sophrologie correspond à mes valeurs fondamentales.
Je me suis donc formée au métier de sophrologue auprès de l’institut de formation à la sophrologie de Paris (IFS).
Je suis adhérente à la chambre syndicale de la sophrologie et exerce dans le respect du code de déontologie.
Le code de déontologie impose aux sophrologues professionnels en exercice de tenir une ligne de conduite très précise. Il définit l'engagement envers le public, les clients et la profession.
Aujourd’hui, je suis heureuse de pouvoir aider avec bienveillance et sans jugement, toute personne qui fera appel à mes services.
Contribuer à améliorer votre bien-être physique et mental pour une meilleure qualité de vie, en utilisant des techniques de sophrologie.
Un accueil ponctuel dans un cabinet agréable.
Une écoute active et bienveillante.
Un accompagnement de qualité basé sur l'ensemble de mes compétences.